Au fil d’un entretien émaillé de témoignages, Cédrine raconte à Françoise son parcours personnel, les rencontres émouvantes avec les patients et les leçons de vie dans la douleur, les
collaborations avec les services médicaux et la création de son association. Elle nous donne également de précieux conseils esthétiques adaptés aux traitements agressifs du cancer. Enfin, elle
nous parle avec passion de son combat quotidien pour que l’esthétique sociale soit connue, se répande et soit un droit pour tous.
Chaque année, environ 64 000 personnes en Belgique apprennent qu'elles ont un cancer. S'ensuivent alors de longs et lourds traitements qui peuvent altérer l'image et surtout l'estime de soi.
Encore méconnu en Belgique mais pourtant très répandu au Canada et en France depuis une vingtaine d’années, le métier d’esthéticienne sociale tend à se développer chez nous et a vocation à offrir
des soins esthétiques aux patients convalescents, notamment pendant ou après une chimiothérapie. Ces soins s'adressent également aux patients en fin de vie et permettent un véritable lâcher-prise
face à la pénible réalité.